Mon meilleur stage de survie ! (c’est aussi le moins cher)

Il y a quelques jours, j’ai reçu un email de Marie T.

Elle venait de télécharger mon guide 10 astuces pour un stock de nourriture sain et efficace.

” Merci pour votre dossier. Tout à fait réaliste, c’est ce que j’ai toujours pratiqué sans même m’en rendre compte.

J’ai bientôt 65 ans, j’ai été élevée à la campagne, j’habite à 4 km d’une petite ville de 5000 hab. donc toujours un peu d’avance, et surtout – comme vous le dîtes si bien – en hiver!…

Quand il neige ou qu’il y a du verglas pas besoin de se prendre la tête et de prendre des risques pour aller faire les courses.

Pour moi, tout ça n’est que question de BON SENS mais je me suis rendue compte ces derniers temps que nous ne fonctionnons pas tous de la même façon.

Maintenant on a aussi les congélateurs, mais lors de la tempête du 26/12/1999 nous avons été 5 jours sans électricité, donc quand je cuisine je congèle une ou 2 portions mais pas trop, on ne sait jamais…

Lorsque nous avons refait notre cuisine je me suis fais plaisir avec une table à induction, mais nous avons gardé notre vieille cuisine au gaz dans la véranda…

Maman avait toujours un dicton… “prudence est mère de sûreté” “

 

On a beaucoup à apprendre de nos anciens

Je reçois régulièrement des témoignages comme celui-ci.

Je suis toujours impressionné par la résilience de nos anciens.

La plupart ne connaissent pas le mot survivalisme, mais ils le pratiquent au quotidien.

Pour eux c’est normal, c’est juste “au cas où”.

Quand on a connu le manque, on prévoit.

 

Mon meilleur stage de survie ? Mes vacances chez ma grand-mère !

Ma grand-mère a toujours 6 mois de conserves devant elle.

Elle ne connaît pas le terme, mais sa maison est une vraie BAD.

Il y a un puits, un potager, un verger, un poulailler, un atelier…

Gamin, j’allais souvent passer mes vacances d’été chez elle, elle m’a appris à : 

  • Cultiver un potager.
  • Nourrir, tuer et vider des poulets.
  • Faire des conserves et des confitures.
  • Bricoler et réparer ce qui était cassé avec le système D.


Mais ce dont je me rappelle surtout c’est d’un esprit de résilience.

Rien n’est grave, tout à une solution.

Et la bonne solution est très souvent la plus simple.

 

Les meilleurs experts en survie habitent autour de chez toi

Ils ne sont pas d’anciens militaires, ou aventuriers  à la retraite.

Mais ils connaissent parfaitement l’environnement local.

À la campagne, il y a toujours un  :

  • Agriculteur, qui connaît le travail de la terre, des animaux.
  • Chasseur, qui connaît la forêt par coeur et qui sait comment vider un gibier.
  • Jardinier aux doigts vert, qui a des légumes deux fois plus beaux que tous les autres.
  • Pécheur, qui connaît toutes les rivières du coin.
  • ….

Souvent, on n’ose pas aller vers les autres pour leur demander des conseils.

On a peur de déranger, mais la pire chose qui puisse t’arriver c’est seulement qu’on te réponde non.

Les personnes âgées se sentent souvent seules, elles seront ravies d’avoir de la compagnie et de pouvoir transmettre leur savoir à quelqu’un.

Les agriculteurs ont toujours besoin d’aide, si tu leur proposes de travailler gratuitement quelques jours, ils te diront rarement non.

Les jardiniers, chasseurs, pêcheurs, sont souvent les gens passionnés, ils te transmettront leur passion avec plaisir.

C’est aussi le meilleur moyen de se créer un réseau d’entraide.

Et en cas de rupture de la normalité, avoir un réseau soudé autour de toi peut faire une réelle différence.

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LA LISTE ULTIME

DES 5 PLANTES SAUVAGES COMESTIBLES

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La nature, c’est mieux qu’un supermarché bio !

Les plantes sauvages :

  • Sont facilement reconnaissables quand on les connaît !
  • Sont présentes partout en Europe
  • T’apportent tous les nutriments dont tu as besoin

En bonus, reçois mes conseils en autonomie et résilience à appliquer dans ton quotidien !

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Les stages de survie ne sont utiles que pour des sujets très précis

J’ai fait des stages pour apprendre le tir dynamique.

J’ai fait des stages pour apprendre le secourisme et notamment les bases du TCCC.

J’ai fait des stages pour apprendre le travail de la forge.

J’ai fait des stages pour apprendre à reconnaître les plantes comestibles sauvages (j’aurais pu demander à un voisin, mais j’ai préféré jouer la sécurité…).

Pour tout le reste, j’ai trouvé autour de moi des personnes compétentes et motivées.

La solution la plus efficace et la moins chère souvent la plus simple.

Prépare-toi !

Antoine
Apprendre Préparer Survivre

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24 Commentaires
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Stéphane
2 années il y a

Hi All,
Je reçois régulièrement des “stagiaires” sur la micro ferme de 5 hect.
On y trouve tout les basiques de la résilience. Je produits mes poulets et mes lapins. Les poulettes pour les œufs. Le miel et les légumes avec de grandes serres. Je produits mes plants.
Je conserve en séchage et lactofermentation (autre que le congel bien sur 🙂 🙂 ) L’auvergne est aussi sympa pour la pêche et la chasse.
Bienvenu à la ferme https://www.facebook.com/ManoirdeMesseix

bernard nygren
2 années il y a

Je suis un survivaliste sans le savoir. J’ai vécu à la campagne chez ma Grand-mère pendant 10 ans et grâce à elle j’ai appris beaucoup de choses. Champignons, animaux, jardinage, dépannage et bricolage. ……Je n’ai rien oublié. Merci à ma grand-mère. J’ai aujourd’hui 77 ans.

Josette GUILLON
Josette GUILLON
2 années il y a

Nous avons tout au long de nos vies beaucoup voyagé pour des raisons professionnelles . Nos formations professionnelles nous ont beaucoup appris et nos parents d’origines paysannes nous ont transmis le savoir faire par nos mains et la réflexion.. La sagesse .. .
Jardin potager , arbres fruitier ,conserves,, confitures ,compotes ,réserves , construction , fabrication de meubles , et pour l’habillement, la couture dans l’ensemble c’est fait maison à part le tissage et filer fils et laines .
Enfants et petits enfants suivent le même chemin .. avec leurs possibilités. Jusqu’au jardin potager sur les balcons ..
Nous sommes reconnaissants et remercions infiniment nos parents et nos ancêtres pour la transmission.de tout ce savoir .. En sachant qu’il y a toujours à apprendre et à découvrir .

JJ
JJ
2 années il y a

Personnellement, dans le but d’être indépendante, j’ai appris à me soigner de façon naturelle, à fabriquer mes cosmétiques, ma teinture pour cheveux et mon pain au levain. J’essaye également de cultiver un petit potager. Je cuisine et fais des confitures. Je cherche aussi une maison en pierre en Lozere avec un jardin dans un hameau.

Sandra Robinson
Sandra Robinson
2 années il y a
Répondre à  JJ

Bonjour du Quebec plus précisément de la Gaspésie région éloignés des grands centres ou vivent 6000 habitants pour 2 municipalités. Très jeune je savais déjà que je n’étais pas comme les autres. Vivant sur une petite ferme avec ma grand-mère et mes parents javais déjà soif d’apprendre. Je passais tout mon temps ou presque à l’extérieur avec mon père. Jai appris a mettre bat des animaux, soigner des blessures, nourrir et l’abattage. Dinde-canard-poule-cochon- boeuf etc. Des mes 8 ans je demandais a mon pere de me laisser faire un jardin. J’ai appris a travailler de mes mains sur la terre, bois de chauffage-entretien de clôture-animaux etc. Dès que j’arrivais de l’école je partais à la pêche dans les ruisseaux et a la chasse aux petits gibiers. Jai commencer à me construire des abris dans la forêts et ramasser des fruits sauvages. Toute la faune et la flores me passionais. Des l’adolescence je me sentais différente de mes amis. Jai entrée dans les cadets de l’armée des mes 12 ans et jusqu’à mes 22 ans jai suivis se mouvement pour finir Capitaine instructeur pour les forces. A la maison avec ma grand mere et ma mere jai appris a cuisiner toute les nourritures.Je fais mes confitures depuis jai 12-13 ans. Toute ma vie à été d’apprendre je me débrouille dans tout et si je me sens pas capable je me documentes. Aujourd’hui jai 3 enfants en bas de 18 ans et je rapporte à chaque automne ma viande d’orignal perdrix je cultive mon jardin et ma serre. Sans le savoir jai toujours été survivaliste depuis 3 ans environs je me suis pencher sur le sujet et jai vite compris que je suis prête a toute éventualité. Conserve sac mylar nourriture lyophilisée et jen passe.jai un diplôme en soins infirmiers aux. Je sais survivre et jai tout ce quil me faut pour y parvenir pendant des mois meme des années. Dernièrement ma nouvelle passion culture de champignons. Je suis autodidacte je lis beaucoup et fait beaucoup de recherches. A 40 ans je peut dire que jai été choyé de vivre sur une petite ferme l’élément déclencheur de ma vie. Je vie en campagne et jai élever beaucoup danimaux pour nos besoins.Je suis une vieille âme et ont me traite ou me regarde souvent bizarrement par tant de prévoyance et de débrouillardise. Une des raisons pourquoi je nai pas de réseau qui ont les mêmes passions que moi .
Ce qui me rend le plus triste cest que mes enfants non pas cette passion en eux et le gout de la terre. Merci pour vos nombreux conseil.

CLAUDE DUCHENE
2 années il y a

_Je proviens d’un petit village du Condroz, à l’écart des routes importantes. _Mes parents, réfugiés de 40, m’ont appris que à un certain moment, tout le monde à attrapé une sorte de diarrhée tenace et une grande fatigue, avec l’impression que le système digestif n’avait plus d’action sur la nourriture ingérée. _Jusqu’à la découverte de petits pois ! _La consommation de petits pois a radicalement stoppé le processus, avec disparition de la sensation de faim !
°
_Après étude de la question, j’ai appris que les pois, haricots, lentilles, … sont riches en protéïnes. _La protéïne est la “brique” du vivant. _Si la cellule en est privée, elle va minimiser toute activité, dans l’attente d’un réapprovisionnement. _Le dit approvisionnement va permettre à la cellule de se réparer, de se reconstruire, et après celà seulement de reprendre son activité normale (digestion, action musculaire….)
_Dans nos contrées, le petit pois semble être la protéïne la plus facile à se procurer ! (aussi champignons ….., produits animaux)
°
_Sur une parcelle de 15 ares, ont faisait pousser des patates pour plusieurs familles, et tous nos légumes. _Aussi l’élevage de poules, lapins, chêvres et cochons. _Ce qui me semble à moi le plus pratique, c’est les poules (qui pondent des oeufs). _Aussi, du point de vue rentabilité stricte, c’est toujours le petit pois qui procurera les protéïnes pour le plus grand nombre.
_Malheureusement, les anciens ont chez nous un faible pour les devinettes, ils font des phrases trop courtes, répondent invariablement “à ton avis ?” à chaque question. _J’aurais pu apprendre beaucoup plus sinon !
°
_Merci à tous de combler ce manque …..

Grandiere Sophie
Grandiere Sophie
3 années il y a

Moi j’ai appris de mes parents d’avoir toujours des provisions d’avance ( ça tombe bien car je déteste faire les courses ! ) , nous habitions dans la campagne Normande à 20 km de la première ville mais des camions de vendeurs ambulants passaient toutes les semaines. Ayant eu 3 enfants j’ai vite appris à avoir dans le coffre une trousse de secours faite par mes soins que je révise une fois par an et des tas de choses pour au cas où ! Un sac sel de déneigement, une pelle pliante , couverture, vêtements chauds …. etc (je vis depuis 36 ans dans le Jura ) . Je me suis commandée un sac à dos noir de 40 litres imperméable que je vais remplir selon vos conseilles dès que je l’aurai reçu . J’ai encore bcp à faire et à apprendre , alors j’imprime vos conseilles pour les relire et apprendre à avancer dans l’art de la survie . Merci bcp pour toutes vos instructions, votre expérience et précieux conseilles . Mme GRANDIERE Sophie .

Catherine GAUCHÉ
3 années il y a

Cathy, 56 ans
J’ai toujours vécu plus ou moins à la campagne depuis ma naissance, en tout cas JAMAIS en ville. Mais depuis 3 ans j’habite en moyenne montagne, isolée en pleine nature dans les hautes Cévennes, entre Lozère et Ardèche, dans un vieux mas Cévenol datant 12è/13è siècle, au milieu d’un hameau plus ou moins en ruines. Nous faisons potagers, vergers, avons 3 poules, 3 ruches, pour notre propre conso. Nous vivons au rythme des saisons et de la météo (bcp de pluies et de pluies des dits “cévenols” mais nous ne craignons pas les inondations car nous sommes à 600m en hauteur, à flanc de colline avec terrains pentus et tout en bancels/faïsses (terrasses). Nous avons des provisions “petite épicerie” avec confitures et conserves pour plusieurs années, 3 congélateurs, 2 Frigos, 1 groupe électrogène,…. J’ai tjr eu l’habitude de conserver, reparer, anticiper,…, depuis ma plus jeune enfance grâce à mes 2 parents qui avaient vécu la 2de guerre mondiale et, ayant manqué de tout et ayant dû se priver, étaient devenus prévoyants, surtout ma mère que j’ai tjr vu faire des confitures, des conserves, ne rien jeter, TOUT garder (“On sait jamais, ça peut tjr servir”!). Tout le monde se moquer de moi de tout garder (boîtes, bouteilles vides, boîtes d’oeufs, sachets papiers,.. ) mais des qu’on a besoin de qq chose on est bien content de venir me trouver et de tjr trouver ce qu’on cherche, à commencer par mes enfants et mon entourage proche !
Lol. Bref tout ça pour dire que pour moi, ma résilience ça a été mes parents et surtout ma mère (mon pere, lui était plutôt le “bricoleur du dimanche” et reparait tout ce qu’il pouvait). Actuellement mon compagnon bricole aussi un peu mais n’est hélas pas très doué, par contre il s’occupe du jardin et des poules, des ruches, …

Catherine GAUCHÉ
3 années il y a
Répondre à  Catherine GAUCHÉ

Cathy, 56 ans,
J’ai oublié de préciser que j’ai une grande cuisinière + four à gaz , un four électrique, une grande cheminée “cantou” tout en pierres sèches (shiste) qui fait la 1/2 de la pièce et poêles à gaz mobiles et independants. Nos potagers dont aussi en permaculture (mon compagnon travaillant actuellement dans le domaine de l’écologie et développement durable et biodynamie) et concernant les “risques” quels qu’ils soient (météo, secourisme, accidents, incendies, …) ça a été le principal précédent travail de mon compagnon pdt + de 20 ans, ainsi que les techniques “commando” car c’est un ancien gendarme réserviste).