Mon Bilan de 2020, une année incroyable !

Début janvier, je fais toujours un bilan de l’année écoulée.

Mon objectif : m’améliorer, progresser, devenir meilleur.

Ça me permet de me rendre compte de ce que j’ai vécu et accompli en un an.

Ensuite, je réalise la liste de mes ambitions pour l’année suivante.

Aujourd’hui, je te partage ce bilan.

 

Un gros bordel …

Impossible de mieux définir 2020.

La pandémie a surpris tout le monde.

Le début d’année a été stressant, le virus était encore mal connu.

Impossible de savoir si les morts allaient compter en millions ou en centaines de millions.

La campagne de désinformation chinoise n’a fait qu’empirer la situation…

Le virus à fini par être étudié, il n’est pas si dangereux qu’on pouvait le croire.

Des vaccins ont été créés, les premières doses commencent à être distribuées.

Les mesures de restriction sont devenues notre quotidien.

 

Une opportunité plutôt qu’un cauchemar ? Bilan de 2020 !

Quand un événement dramatique arrive, il y a deux façons de réagir.

1 – S’effondrer, se lamenter, rejeter la responsabilité sur les autres… c’est ce que font la plupart des gens.

2 – Se dire que c’est une opportunité d’apprendre, de devenir plus fort et de mieux résister la prochaine fois.

Si tu lis cette lettre, c’est que tu fais partie de la deuxième catégorie.

2020 a été une opportunité d’apprentissage incroyable !

 

J’ai testé ma résilience !

Fini les stimulations, on était dans du concret :

  • Mon stock de nourriture m’a permis de vivre en totale autonomie quand la dangerosité du virus était encore inconnue.
  • Mon stock d’or a protégé mon épargne pendant le Krash boursier de février/mars.
  • Mon matériel médical convenait parfaitement à la situation, j’avais de l’alcool, des masques FFP2 et des gants en quantité.
  • Ma Base Autonome Durable au milieu de la montagne était parfaite pour le confinement.

La crise m’a permis de déceler des failles dans ma préparation.

Mais elle m’a aussi rassuré, j’étais prêt !

 

J’ai vérifié la solidité de mon couple

Être bloqué pendant des mois avec son partenaire est un excellent moyen de vérifier si son couple fonctionne.

Grâce au confinement, je sais que je suis avec la femme avec laquelle je veux passer ma vie.

J’ai pu (re)découvrir :

  • Sa positivité, quand tout le monde stresse, elle est souriante.
  • Son esprit d’initiative, quand il y a un problème, il y a une solution.
  • Son énergie, elle bouge, elle fait des choses.
  • Sa solidité émotionnelle, malgré les problèmes, elle garde le cap.

En quelques mois de confinement, nous avons gagné des années de vie commune.

 

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J’ai analysé les réactions à la crise

Les ruptures de la normalité, ce sont des occasions en or pour apprendre.

En 2020, j’ai beaucoup appris…

Voici quelques-unes de mes conclusions :

1 – Le gouvernement est incapable de gérer une crise globale.

Il a à disposition les moyens financiers, le matériel et les hommes prêts à se battre pour leur pays.

Mais il est incapable d’utiliser efficacement ces ressources…

Pour la prochaine crise, tu ne pourras compter que sur toi.

2 – La population n’a plus confiance dans les institutions.

Les errements, les décisions illogiques et les mensonges du gouvernement ont définitivement décrédibilisé l’État et ses services.

La défiance s’installe de plus en plus profondément…

Nous assisterons à de graves mouvements sociaux ces prochaines années…

3 – Nous sommes en plus à nous préparer !

La fragilité de notre système a réveillé une partie du grand public.

Il y a quelques années “survivalisme” était un gros mot.

Aujourd’hui c’est devenu une option.

Demain, ça sera du bon sens.

 

J’ai fait des rencontres incroyables

En un an, le projet Apprendre Préparer Survivre a pris un envol incroyable.

En 2019, nous n’étions que quelques centaines.

En 2020, nous sommes devenus des milliers.

Grâce à ce réseau, j’ai rencontré des gens incroyables.

De véritables experts dans leurs domaines :

  • Résilience énergétique,
  • Secourisme de combat,
  • Communication radio,
  • Expertise militaire,
  • Autonomie alimentaire

Ils cumulent des connaissances précieuses et une grosse expérience de terrain.

 

Je prépare quelque chose…

Fin 2020, j’ai eu une révélation.

J’étais entouré d’experts en résilience, et vous étiez de plus en plus nombreux à me poser des questions sur comment devenir plus autonome, plus résilient… plus fort.

Je devais agir pour relier ces deux communautés.

Trouver un moyen pour qu’on puisse échanger nos connaissances.

Je t’en reparlerai dans quelques jours.

 

Et toi, quel a été ton bilan pour cette année 2020 si spéciale ?

Qu’as-tu appris ?

Réponds moi dans les commentaires !

Antoine
Apprendre Préparer Survivre

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34 Commentaires
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Patrick
Patrick
3 années il y a

Bonjour quelle surprise ce mail 2020 il reflète l’intégralité de mon ressenti et mon vécu pour 2020 donc je vais pouvoir améliorer les points négatifs et continuer ma route Un Grand MERCI pour tout ces partages d’expérience et d’apprentissages

Brigitte
Brigitte
3 années il y a

Bonjour
Eh bien je viens d’apprendre que nous pouvions manger des glands, l’idée me plait, j’apprécie déjà beaucoup les châtaignes. Ce que j’aimerais aussi vraiment apprendre est comment faire un simple four ou grill solaire. Est ce prévu dans votre programme de survie?
Je vous remercie grandement pour toutes vos bonnes idées et votre compassion
Bien à vous

drac038
drac038
3 années il y a

Bonjour Antoine,
Bonjour à toutes et tous,

Avant tout, une excellente année à tout le monde et MERCI Antoine pour tous tes conseils.

Comme c’est la première fois que j’interviens ici, je vais tout d’abord me présenter en quelques mots. Je vous parlerai de mon expérience de 2020 ensuite. Demi ardennais par mon père, je baigne dans le survivalisme depuis ma plus tendre enfance. Chez mes grands-parents, il y avait toujours du stock (pomme de terre et carottes du jardin, farine, sucre, jambon, œufs… mais aussi et surtout du sel – j’y reviendrai). Ado, ça me faisait sourire. Ils avaient subi 2 guerres mondiales, mais je pensais ce temps-là révolu… Heureusement, le « on ne sait jamais » et le « ça peut servir » qui m’ont toujours bercé, ont laissé des traces. Sans même m’en rendre compte, je fais des réserves, j’ai appris les bases du jardinage, de la traque et de la salaison. Arrêtons-nous un instant sur ce point. Lorsque l’on pense à la conservation de la viande ou des fruits et légumes, on pense souvent à la congélation. Malheureusement, en cas de crise majeure, s’il y a pénurie d’électricité ou que l’on doive prendre la route, sans un groupe électrogène, ce type de réserves est rapidement perdu. De plus, si l’on doit chasser et que le gibier est un peu gros (chevreuil, sanglier…), il faut un moyen pour ne pas gaspiller la viande. Pour moi, la solutions est la salaison et la stérilisation pour la viande. Pour les légumes, j’opte plus la conservation au vinaigre et au sucre. Antoine, si tu veux me contacter, je peux te donner mes recettes pour les regrouper dans un livret que tu pourras mettre en téléchargement pour tous.

Tout ça pour dire, que lorsque 2020 a pointé son nez, j’étais prêt. La ruée vers les pâtes et le PQ a été pour moi un moment d’étonnement et de sidération… Mon entourage se plaisait souvent à me tourner en ridicule avec mes réserves, mais là, je n’ai même pas eu besoin d’aller au super marché. Juste un passage éclair à la pharmacie pour acheter de la glycérine pour fabriquer mon propre gel hydroalcoolique (inutile d’en chercher, il n’y en avait déjà plus). Puis, nous nous sommes repliés dans l’appartement ma compagne et moi (nous habitons une grande ville) et avons attendu tranquillement que l’orage passe. En mai, nos réserves étaient à peine entamées. Peut-être que certains vont être étonnés voire scandalisés à la lecture de ce qui suit, mais pour moi, 2020 a été une année ordinaire, banale. Mis à part l’impossibilité de sortir, pratiquement rien dans ma routine quotidienne n’a changé. Et surtout, j’ai pu voir les points forts et les points faibles de mon organisation. Fin mai, le stock était reconstitué, les points faibles plus ou moins corrigés et j’étais (je suis) prêt pour une deuxième voire une troisième vague.

Pour finir, une nouvelle fois encore, un grand MERCI Antoine, pour les informations que tu nous donnes et la possibilité que tu nous offres de partager nos expériences. C’est comme ça, que chacun de nous peut avancer et protéger les siens.

Philippe
Philippe
3 années il y a

Un des points importants de 2020 en ce qui me concerne est effectivement la totale résilience et de se rendre compte que se préparer au pire non seulement n’était pas ridicule mais s’avérer être devenu une sagesse acceptée par de plus en plus de personnes de mon entourage.
Tu résumes assez bien ce que j’ai moi même vécu cette année, avec certaines préparations survivalistes en moins malheureusement.
J’ai connu aussi la réticence de mon épouse à ce sujet mais, chemin faisant, et peut être aussi parce qu’elle a dû avoir du mal au début à considérer les choses possibles, elle me suit maintenant totalement et me fait confiance. C’est pour moi une grande victoire de la patience et de l’opiniâtreté. Les 2 mois du 1er confinement ont probablement joué en cette faveur car nous avons vécu totalement ensemble dans ce qui est notre BAD, nous avons été en osmose parfaite, avons appris à vivre vraiment dans ce contexte, et les projets d’avenir et de préparation sont vraiment communs.
Je me suis rendu compte aussi que les choix fait pour ma BAD ont été plutôt judicieux. Il me reste à y habiter définitivement pour avoir du temps pour parfaire la préparation notamment les stocks. la maison étant en travaux lourds d’aménagement actuellement (pour accélérer le coté BAD) j’espère que le temps qui passe ne me sera pas crucial.

En fait je retire étrangement une majorité de positif dans cette période:
-Les gestes barrières d’origine (les premiers demandés donc les plus pertinents et essentiels, comme le lavage accru des mains) ont eu des répercussions positive complémentaires; je n’ai pas été malade de l’année!
-Mes options “santé” tendance homéopathie voire naturelles sont les bonnes
-La tendance zéro déchets et réemplois, impératives de par la situation, est non seulement écologique mais on en tire des satisfactions personnelles immenses
-La consommation plus naturelle et avec des produits de saisons et locales est devenue une évidence
-J’ai pris conscience de ma vie actuelle et de ce qu’elle pourrait être à l’avenir. A tel point que je me remet totalement en question. Quitter Paris et son environnement pourri (à tout points de vue y compris humain) pour une vie saine, aérée, responsable et en accord avec la nature.
-Redécouverte de l’essentiel: La vie dans toute ses formes, prendre le temps de faire bien et durablement, s’éloigner de l’emprise de l’argent, revenir à sa famille et ses vrais amis
C’est à dire tout ce dont la vie actuelle, particulièrement depuis le covid, essaye de nous éloigner.

Si la situation déjà intenable aujourd’hui perdure (ce qui risque fort d’arriver) la question, si elle était encore en suspend, ne se pose même plus. Il faut s’échapper et se protéger.

En tout cas merci Antoine, tu es un appui fantastique et tu nous soutiens si bien dans notre détermination d’indépendance et de resistance

Philippe

Belluard
Belluard
3 années il y a

Bonjour Antoine,
La pandémie m’a permis de prendre conscience de la précarité de notre situation et de la nécessité de se prendre réellement en charge. NouveL adepte du survivalisme, je compte mettre en application tes conseils afin d’être en mesure de faire face aux problèmes qui ne manquerons pas de survenir.
très cordialement.
GUY

Johanna
3 années il y a

Bonjour et merci à toi, et à toutes les personnes qui parlent de leurs expériences en matière de survivalisme. Je suis dans un appartement de maison de village, sans balcon, mais j’ai investi un peu du territoire communal près de mon garage (coin isolé) pour des bacs et jardinières. J’attends l’achat d’un petit terrain pour la culture, avec de l’eau (je croise les doigts !). jusque-là, on m’en prête un mais la propriétaire a plus de 90 ans.

Les conserves, c’est bien, mais les produits frais, c’est indispensable. Je pense aussi aux poudres de protéines qu’on trouve en maison bio, car à part les orties, on trouve peu de protéines dans les végétaux, et tout le monde n’est pas apte à chasser. Au fait, l’aïl des ours ne se trouve pas partout ! Dommage, c’est si bon…

Pas de BAD, à part à voiture, malheureusement. Penser aussi que l’armée est équipée de caméras thermiques et lunettes à réalité augmentée, en plus des drones (je pense à une “vaccination” obligatoire par exemple, avec intervention de l’armée).

Penser aussi aux femmes qui devront peut-être porter un sac de survie lourd. Une bouteille de 1.5 l, ça alourdit beaucoup. Il faut faire des choix drastiques.
Repérer les points d’eau sur un chemin d’évacuation, les grottes, tunnels et abris anti-ondes (5G), les chemins plutôt que les routes..

Le stock alimentaire/santé… c’est ok, sans oublier nos animaux de compagnie et la possibilité qu’ils pourraient ne plus sortir sous peine de servir de beefsteaks ! Penser aux sacs de sciure et/ou de litière en cas de rupture de l’approvisionnement électrique (plus d’eau au robinet et plus de chasse d’eau !)… avec sacs poubelle.

Je recherche aussi, outre le terrain, un système solaire non fixe, comme Jenane (com un peu plus bas), pas trop cher.
Attention au groupe électrogène qui fait du bruit et pourrait attirer l’attention (selon la crise à gérer).

Côté mental, j’ai très mal vécu le premier confinement car mon jardin est à 15 mn de chez moi. Jusqu’au moment où j’ai bien lu le décret et vu que je pouvais y aller. Je n’avais pas du tout prévu ce genre de crise, ce musellement général, cet emprisonnement injustifié. Mais malgré cela, c’est un fond de stress, de colère, de frustration, permanent !

Pierre BELARBI
3 années il y a

Salut Antoine,
… et reçois tous mes vœux de santé et de réussite pour cette nouvelle année !
Lettre très intéressante (une fois de plus). Tu parles de la solidité du couple mais sous le prisme de l’homme en parlant des découvertes sur la force de ta femme… pour ma part j’ai vu ma femme accoucher 2 fois j’ai barroudé avec elle autour du monde et je n’ai jamais douté ni de sa force ni de sa résilience. Survivre n’est, à mon avis, pas l’apanage de l’homme. Les commentaires ci dessus le prouvent…
Sinon parfait
Bien à toi
Pierre BELARBI
(SALVARE PREVENTION)

Erin
Erin
3 années il y a

Bonjour, je trouve très bien ce que vous faites. Pour ma part, je survie à petite échéance. Depuis quelques années je vis au présent je ne pense pas au futur je ne pense plus au passé mais je vis au présent et ça a l’air de correspondre à ma personnalité. Je suis débrouillarde et advienne que pourra il y a des gens qui doivent partir il y a des gens qui doivent survivre. depuis quelques années on nous a appris qu’il n’y a plus beaucoup d’énergie renouvelable et donc trop de monde sur terre du coup je pense que la pandémie et une bonne alternative maintenant je ne suis pas Dieu ceux qui resteront tant mieux ceux qui partiront peut-être tant mieux aussi pour eux. Je vous souhaite une très belle année 2021 et je trouve bien ce que vous faites moi c’est juste pas dans ma nature bonne continuation peut-être à bientôt.

Taps
Taps
3 années il y a
Répondre à  Erin

Bonjour
Comme tes amis Antoine je dis bien amis car à la lecture des courriers tu as beaucoup de retours Positifs…. Tu est l ami des lecteurs c’est ce que je ressents.
Tes dossiers :c’ est comme l’ordonnance du toubib.
Tes frais de rédaction devraient être rembourser par la Secu.
Voilà un travail de Patron.
Si tu était dans le quartier on serait copain mon ami.
2020 à certainement éveiller un tas de gens qui ont reçu tes infis via des transferts(j en ai transférer des dossiers â mes amis)
Faire une cousinade serait pas mal.

Toutes mes salutations aux anciens et aux lecteurs et que le Big Boss la haut….. te prête Antoine vie mon ami

vero
vero
3 années il y a

bonjour, je pensais déjà avant de te découvrir à la notion de survivalisme. J’ai un mari adorable mais qui a du mal à me suivre dans cette optique et deux ado de 17 ans que je souhaite préserver pour le moment bien que je ne leur cache pas ma démarche. Nous vivons dans un village en appartement et s’il le faut, nous pouvons rejoindre mes parents à 20 kilomètres qui habitent dans la forêt mais pas tout à fait isolés (mais c’est mieux que la ville déjà !). Mon papa me suit à moitié, mais il a déjà fait des réserves pour l’eau, j’ai acheté de mon côté un filtre (pas Beckley, j’avais pas les moyens mais je vais faire analyser l’eau de la citerne (récupération eau de pluie) pour savoir si ce système est fiable ou pas et éventuellement le changer. Mon papa a un jardin, un poulailler, un groupe électrogène et de la réserve d’essence, un peu. De mon côté j’ai fait durant l’année 2020 et encore maintenant, des réserves alimentaires : riz, pâtes, sucre, farine, légumes, légumes secs, viande en conserves, ainsi que des réserves pour l’hygiène (savons de Marseille ou d’Alep, brosses à dent, dentifrice, serviettes hygiéniques lavables pour mes filles,…) , des huiles essentielles pour se soigner ainsi que de l’alcool, eau oxygénée, pansements, médicaments, bougies, boites d’allumettes, briquets, piles, … j’essaie de penser à tout mais mes proches ont vraiment du mal à me suivre là dedans et pensent que je suis un peu dingue de faire de telles réserves. J’en ai pas assez, si on doit vivre à 7 voire plus chez mes parents, mon stock sera très vite épuisé, il va falloir se mettre au boulot au jardin très vite ! ça m’angoisse beaucoup car je ne me sens pas prête du tout et j’ai très peur de l’avenir, j’ai fait des crises d’angoisse durant le confinement et j’en fait encore de temps en temps, que je soigne avec du Rescue. Mon papa a quelques armes, pas assez à mon gout, je ne suis pas préparée à me battre ni à soigner au cas ou .. je rêve de rejoindre un groupe isolé mais je sais que c’est impossible car personne ne me suivrai, mes filles passent leur bac cette année, je ne peux pas leur dire que je pense que ça ne sert à rien … cett année a été compliquée et angoissante, celle qui s’annonce ne sera pas mieux voire pire mais je fait mon maximum pour la survie de ma famille…. merci pour tous tes conseils en tout cas , ils sont vraiment précieux et m’aident à tenir le coup et à garder tout de même l’espoir et le courage !!!

ANNE TOUGE
ANNE TOUGE
3 années il y a

Bonjour Antoine,
J’avais déjà été bloquée en pleine campagne (dans ma maison isolée au fond d’un petit bois) en 1999 une huitaine de jours juste sans électricité ni chauffage (mais avec l’eau courante) J’avais percuté immédiatement en me disant que cette situation n’était qu’un échantillon gentil des ennuis à venir… J’avais prévu un minimum = chauffage gaz indépendant sur bonbonne, réchaud, réserves eau, un bon stock de bougies : tout a servi !
Puis, la vie a passé et le confort et le travail stressant ambiants m’ont rendu nonchalante….jusqu’au mois de mars 2020 où rentrant in extremis de l’étranger par avion, j’ai compris que tout pouvait s’arrêter et que je pouvais être retenue n’importe où sans mon accord et sans pouvoir à ce moment sur ma vie et mon devenir ! J’étais l’obligée et la prisonnière de plein de technologies et de coercitions immaitrisables.
Cette crise a boosté mon imagination et mon instinct de survie pour protéger ma fille (parisienne), mes chats et moi même. Il faut être très riche pour avoir une BAD au top ! mais je ferai avec les moyens de mon bord et je serais ravie de pouvoir partager avec d’autres personnes solitaires comme moi.
A défaut d’être “survivaliste”, j’ ai décidé d’être “prévisionniste” ….c ‘est un début pour une fille quasi seule avec une famille minuscule et plus douée avec son cerveau imaginatif qu’avec ses mains (quoique !)
Retraitée depuis 2 ans bientôt, je fais construire une TINY HOUSE : ce sera ma deuxième BAD en sus de la vieille maison que j’occupe depuis 17 ans dans un petit village charentais.
Ma BAD mobile “d’urgence” est mon véhicule-van et grâce à toi, je l’ai déjà équipé d’un extincteur, d’un kit d’urgence, d’une trousse à outils, sac de couchage grand froid, réchaud gaz avec 1 recharge, café, céréales, vaisselle de base ….bref, pour le moment, c’est plutôt “ma cabane de voyage” et je la teste. Je dors sur la partie des 3 sièges avant car je n’ai pas de communication avec l’arrière et c’est mieux pour surveiller les alentours.
Bref, j’apprends toute seule avec mes ordinateurs ; j’aimerais bien avoir des contacts locaux : tu as prévu des points de rencontre régionaux ? Remarque, je n’ai aucun souci de déplacement (je préfère éviter les villes toutefois)
j ‘ai acheté tes bouquins et je suis tes mails avec attention mais je m’équipe doucement car le budget grimpe vite !
Solidairement
ANNE

sylvain
sylvain
3 années il y a
Répondre à  ANNE TOUGE

Bonjour,
je vis a peu prêt la même situation que toi ! sauf que moi c’est ma femme qui me suit pas trop dans le survivalisme. mais je fais aussi des réserves pour le en cas ou ! qui pour moi va arrivée et assez rapidement malheureusement. j’ai aussi 2 enfants que je tiens à protéger ( normal ) mais effectivement je me sens assez seul dans la réalisation de mon objectif de survie et de-fois des petit conflit existe avec ma femme sur le sujet. bon courage à toi et continu ce que tu fais. car pour moi bien-sur c’est toi qui a raison.
sylvain